Liberbed s’associe à un projet tout neuf : Jean-Batollectif

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« Jean-Batollectif » c’est une équipe d’une quinzaine de personnes avec des envies communes comme celles de prendre la mer, de retaper du bateau, de créer des synérgies, de faire du spectacle, des chorales, des cantines…Alors concrètement qu’est que ça donne ?

Un bateau récupéré fin mai à l’association des amis du jeudi dimanche  plus connue sous le nom de l’association du père Jaouen. Le projet a donc commencé par des manches relevées pour nettoyer, réparer, astiquer, poncer, changer, frotter et pour finalement réussir à mettre le Tupamaro à l’eau le 13 juillet . Une fois cette première mission accomplie, l’équipe s’est réunie, à terre pour discuter de la navigation, des actions à mener et de l’organisation collective.

Mise à l’eau du Tupamaro © Anaelle Morin

Le lundi 17 juillet, les quatre bateaux composants l’escadre du Batollectif, à savoir le Tupamaro, le Vague à l’âme, le Bluesman et le Roi Arthur, se lancent pour une semaine de navigation finistérienne.

Des journées de navigation, des arrêts portuaires en musique avec une chorale motivées. De la « récup » de nourriture, des observations faunistiques, des rencontres sur les ports et des réunions.

Le Vague à l’âme, le Bluesman et le Tupamaro au mouillage à Camaret © Anaelle Morin

Cette première semaine a fait émerger des envies et des constats diverses :

  • Une équipe qui a désormais un bateau, le Tupamaro et qui doit en assurer la gestion, le mouillage, le prêt. Tout cela orchestré par une commission déléguée à cet effet.

  • Organiser des chantiers pour restaurer les bateaux.

  • Des rencontres mensuelles pour discuter, éclaircir les envies, affiner le projet.

  • Une première semaine de résidence en octobre autour d’un projet artistique, maritime et politique.

  • Un collectif en collaboration avec Liberbed dont le modalités sont à définir.

Une chose est sûre, ce fut une semaine de rencontres, de moments inoubliables qui soudent cette équipe qui aimerait prendre la mer pour bien plus d’une semaine et pour faire de la voile un moyen d’ouvrir un champ des possibles.

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L’équipe du Jean-Batollectif. © Anaelle Morin